EDITO !!!!!

LE TRISTE WEEK-END DU BRIENNE HAND BALL.

Entre défaites et inconstances, entre blessures et absences, entre dépit et espérance, le BHB a connu sa fin de semaine la plus noire depuis le début de saison.

Les défaites font partie du jeu et l’on y trouve la force pour analyser et progresser.

L’inconstance, qu’elle soit de la forme physique ou du fonds de jeu, est aussi un paramètre que chaque équipe doit prendre en compte au moins une fois au cours de la saison.

La blessure est soudaine, liée à la forme ou à a surchauffe, au coup de moins bien ou à la malchance, elle peut perturber chaque compétiteur à un moment de la saison.

L’absence, qui peut être de ne pas rentrer dans le jeu ,mais aussi de ne pas répondre aux convocations ,et pire, de ne pas prévenir , est perturbante pour l’image du club , pour le sérieux de ses dirigeants et pour le respect de ses équipiers ; l’absence peut aussi être aussi soudaine qu’excusable, ce qui fut notamment le cas ce week-end dans plusieurs équipes.

Le dépit, c’est de ne pas trouver de solution dans le jeu, c’est aussi d’être confronté à des collectifs dont les 2/3 ou les 3/4 jouent habituellement au moins 2 niveaux au-dessus de la compétition proposée et nous sommes très déçus d’y avoir été confrontés ce week-end !!! Nous aurions pu envoyer notre réserve à l’abattoir de la « quasi »N3 Savino-Chapelaine et garder nos artilleurs plus patentés pour le round départemental ??? il faudra y penser à l’avenir lorsque les élites actuelles du hand ball Aubois devraient se reposer plutôt que de venir éventuellement fausser le championnat dans des joutes où ils ne trouvent que le plaisir d’un entraînement supplémentaire.

L’espérance c’est de tirer la substantifique moelle de ces propos pour que la force, l’énergie, le caractère, la fraternité et l’ambition légitime mais modérée du hand- ball Briennois perdurent et progressent et donnent à nos jeunes l’image d’un sport formateur qui a mené plusieurs de nos joueurs dans les hautes sphères du hand ball Français tout en sachant modestement rester à la place au-delà de laquelle tout n’est pas possible.